Tigres au Lion - now Down Under

Tigres au Lion - now Down Under

lundi 24 janvier 2011

Botanic Gardens

Un concert, auquel nous n’avons finalement pas assisté, nous a attirés ce dimanche au Botanic Gardens, un des deux poumons verts de Singapour (l’autre étant la réserve naturelle).
Le week-end, les pelouses se recouvrent de nappes de pique-nique et de draps de sieste pour les nombreux citoyens en manque d’espace et de verdure. 
 
La végétation luxuriante méticuleusement domptée et entretenue nous a conquis également. Aurélien s’est même lancé dans la photo d’orchidées !
 

samedi 22 janvier 2011

Bilan superficiel

Approchant les 20 semaines à Singapour, nous pouvons tenter un bilan superficiel de notre vie dans ce pays-ville. Attention, la découverte de cette région est un plaisir au quotidien et il ne faut absolument pas se focaliser sur une partie spécifique du texte. Nous tentons d’éviter le syndrome « grass is always greener on the other side » mais essayons aussi de ne pas sombrer dans la critique irréfléchie… tout en gardant un peu de spontanéité et de franchise !

J’aime:

- L’harmonie multi-culturelle et multi-ethnique. Singapour respecte et institutionnalise les religions et les cultures. Le pays a quatre langues officielles (anglais, mandarin, malais, tamoul) et une multitude de dialectes. Depuis les lieux de culte jusqu’aux jours fériés, chacun trouve son compte. Pas de polémique du voile ici.
- Liée au premier point, la confirmation naïvement rafraichissante, qu’une communauté organisée et laborieuse réalise « de grandes choses ». Bien sûr, l’immigration pourrait être moins sélective, la liberté de parole moins contenue, le système judicaire moins strict et les uniformes scolaires féminins moins proches de « Sœur Sourire en prison ». Néanmoins, il y a 50 ans, ce pays n’était qu’un vil quartier chaud portuaire, flottant sur un marais. On ne peut qu’admirer le chemin parcouru pour devenir un hub international, une destination touristique, une capitale économique, une place forte financière et un lieu de savoir universitaire…
- L’administration ultra-compétente. Ce n’est pas une légende urbaine : au ministère de l’emploi, nous avons découvert des bornes d’accueil informatisées, des accès aux guichets gérés via écrans géants, des salles d’accueil « famille » équipées de jouets et, surtout, un sens du service peu commun par lequel les cachets manquants et les formulaires incomplets sont corrigés sur le champ… du jamais vu !
- La bonne humeur et la politesse. Ici, il y a du monde partout et du bruit tout le temps (et vice versa) mais personne ne hausse le ton ni ne joue des coudes. L’ambiance générale respire la pensée positive: on se plaint peu et on sourit beaucoup !
- L’exotisme du lieu. Singapour, c’est l’Asie « softcore » : nous y comprenons (presque) tout, on y tolère patiemment les caucasiens les plus « beauf’ », et les chinois ne peuvent pas cracher en rue… Bref, l’exotisme réel du Sud-Est asiatique, sans les traumatismes à la « Lost in translation ».
- Le métro efficace, propre et climatisé. En plus, comme on y paye, via une carte magnétique, un montant relatif à la distance parcourue, il procure l’agréable sensation de « juste prix » !
- Les taxis abondants et bon marchés. En combinant la qualité du métro et les bas prix des taxis, on se passe facilement de voiture à Singapour. Finis les PV (c’est donc là que partait l’argent !) et les Bob(ette)s (i.e. « designated driver »)… Bien sûr, quand il pleut, c’est la pagaille pour trouver un taxi libre…
- La vie en chemise/t-shirt/short/clapettes et le soleil qui poudroie. Quand on vient du « Nord », on ne s’en lasse pas vite !
- L’hygiène personnelle. J’en ignore la cause (climatique, culturelle, ethnique, physiologique) mais, dans le métro, (presque) personne ne sent mauvais.
- La clim à 19 degrés. Après 10 minutes de perspiration abondante dans la rue, la bouffée d’air sec et glacé de n’importe quel commerce est jouissive, sans doute un peu comme la capsule de morphine du soldat.
- La passion singapourienne de l’automobile (uniquement Cédric). Voir le billet « Musique mécanique » du 11 Novembre 2010, toujours d’actualité, notre appartement étant apparemment extrêmement bien situé, à l’angle de lignes droites dépourvues de radars.
La Ferrari F430 Scuderia dont le
ronronnement rythme nos soirées,
prise en flagrant délit en bas de chez nous
- La police. Très discrets, les policiers patrouillent essentiellement en civil (ca fait un peu Stasi, je le concède) ; les rares effectifs visibles ressemblent à des para-commandos et circulent exclusivement à pied. Au risque de paraître facho, je soutiens qu’ils reflètent une image plus professionnelle que nos policiers bruxellois moustachus et bedonnants, uniquement visibles en fourgon au Quick, et qui sont tout juste capables de verbaliser les piétons solitaires et inoffensifs (ça sent le vécu).
- Les « food courts ». Chaque centre commercial dédie un étage entier à la restauration, sous la forme d’un grand réfectoire entouré d’échoppes de cuisines variées. Dans la flemme du week-end, chacun mange exactement ce qu’il préfère (pour trois fois rien), dans une chouette ambiance de méga table d’hôte.
- Les cousins. Voyager 10.000 km et encore avoir des cousins en ville, trop bien, non ?
- Les frêles petites asiatiques au volant d’énormes Porsche rutilantes.
 
- Etre plus grand que tout le monde dans le métro (surtout quand il est plein). Je sais, c’est nul.



J’aime pas:

- Le sentiment quand même désagréable et culpabilisant que ce bel équilibre est construit en partie sur le dos de travailleurs bengalis qui vivent dans des cabanes de chantier et de « maids » philippines qui dorment dans des « bomb shelters » (pièce de 2 mètres carrés, sans fenêtres, avec épaisse porte blindée, obligatoire dans les nouveaux appartements. D’autant plus étrange qu’il est difficile de comprendre l’utilité d’un abri anti-bombes au 25ème étage).
- De même, le travail de personnes très âgées qui, çà et là, vivent de petits boulots de nettoyage. Ils appartiennent à la première génération de singapouriens, celle qui participa à l’essor du pays mais qui engrangea des salaires en moyenne 5 fois plus bas que la génération actuelle et ne peut donc subvenir à ses besoins, au coût de la vie actuel. Ceux qui ne peuvent compter sur leurs (petits-)enfants en guise de pension tombent alors dans une abysse du système, en l’absence de sécurité sociale. L’éducation et le logement publics sont performants et ratissent large, laissant peu de place à la marginalisation. Néanmoins, ces oubliés-là font peine à voir.
- La condescendance vis-à-vis des pays voisins. On l’avait constaté rapidement (voir le billet « No sun in Singapore » du 20 octobre 2010): les singapouriens sont, à juste titre, conscients et fiers de leur succès. Néanmoins, leur franc dénigrement des pays voisins (Malaisie et Indonésie), même s’il est parfois fondé, a souvent des airs de petit fayot dénonciateur. Les seuls scandales WikiLeaks relatifs à Singapour concernent la publication des multiples commentaires désobligeants émis par des hautes autorités au sujet des gouvernements voisins.
- Les conducteurs singapouriens. Sans aucun doute les pires conducteurs rencontrés jusqu'à présent (oui, pire que les américains). Aucun sens de l’anticipation, aucune fluidité dans la conduite et, surtout, aucune attention aux usagers faibles (la marche arrière s’enclenche en regardant vers l’avant, on intimide les piétons qui traversent dans leur droit, on leur roule sur les pieds pour entrer dans son garage…). Comment de tels passionnés d’automobile peuvent combiner lenteur et maladresse, dans un affligeant massacre de l’art de la conduite, reste un mystère. Cette remarque n’est en rien raciste : la population de conducteurs singapouriens est pluri-raciale et les vietnamiens nous ont prouvé que la région produit également d’excellents pilotes.
- Les chauffeurs de taxi qui « ne perdent pas la face ». Les courses en taxi sont souvent un calvaire dont l’allure saccadée rendrait malade un spationaute confirmé (vous ai-je déjà dit qu’ils conduisent comme des pieds ?). Non contents de rouler sur les piétons, les chauffeurs ne mentionnent pas leur éventuelle méconnaissance d’une destination. Plutôt que d’avouer leur ignorance, ils roulent alors au hasard et s’arrêtent à une destination de leur choix ! Bon d’accord, ils ne sont pas tous comme çà mais cela arrive régulièrement !
- La démarche leeeeeeeeente (uniquement Cédric). Les singapouriens marchent à du 2 km/h. Les romains marchent lentement pour éviter de suer dans leur costume-cravate Armani par 40 degrés. Mais les singapouriens qui se trainent en short et tongs dans l’air climatisé n’ont, à mon sens, pas d’excuse… Quand ils n’accélèrent pas alors que les portes du métro sonnent, on leur marcherait dessus !
- Le manque de spontanéité dans l’organisation familiale. Difficile d’improviser à Singapour : les cinémas, les restaurants et la plupart des activités culturelles et sociales sont constamment pris d’assaut (à part les musées). Les initiatives improvisées se soldent souvent par des files ou des refus (sans bousculades ni énervement, bien entendu, cela reste Singapour).
- La clim à 17 degrés au bureau et au cinéma. Enfiler une veste au bureau et amener un pull au cinéma quand il fait 35 degrés dehors relève du crime écologique. Cependant, pour un singapourien, baisser la clim correspond à retourner dans le tiers-monde et l’air froid des bâtiments symbolise le succès de leur évolution. Pas question donc de remettre en cause le niveau du thermostat!
- Les odeurs parfois nauséabondes. Dans un climat chaud et humide, le moindre écart de propreté provoque des odeurs insoutenables. L’hygiène et le nettoyage publics sont presque irréprochables à Singapour. Néanmoins, chaque petite erreur (une poubelle oubliée, un égout encrassé, une toilette de chantier mal vidée) a des conséquences vraiment très désagréables.
- Les chantiers (uniquement Sophie). Leur omniprésence (dans chaque rue, soit on casse, soit on construit, soit les deux), leur bruit constant (les travaux s’arrêtent rarement), leurs nombreux ouvriers qui reluquent les dames…
- Traverser la rue avec les enfants. Les singapouriens conduisent mal (on se répète) et roulent à gauche (on regarde encore du mauvais côté) ; les feux de circulation sont très longs et les passages pour piétons sont rares. Tout est dit !
- Faire 40 minutes de file à la banque pour effectuer un virement (le plus souvent Sophie). Etonnement, dans toute cette belle organisation, la grande banque locale et l’opérateur télécom dominant proposent un niveau de service absolument ahurissant de nullité.
- Ne pas comprendre nos interlocuteurs (qui parlent pourtant anglais, ou au moins le « Singlish » qui s’en approche). Dans les taxis, c’est embarrassant. Dans les restaurants, c’est frustrant. Au téléphone, c’est plus fréquent et inextricable ; on finit, toute honte bue, par se faire transférer vers un autre accent (pas spécialement plus facile). Mais on progresse !

lundi 17 janvier 2011

Brussels Sprouts

En ce dimanche midi festif, les restaurants présélectionnés étant combles (aléa courant à Singapour), nous avons abouti au "belgo-belge" Brussels Sprouts. Nous y avons retrouvé, sur la terrasse en bord de rivière, des plats hivernaux bien de chez nous, les uns exécutés avec talent et tradition, les autres moins… 

En complément de la fresque Tintin, une averse plus bruxelloise que tropicale compléta ce beau tableau "noir-jaune-rouge" en accélérant la fin de repas !


vendredi 14 janvier 2011

Humour urbain

Après explications, Guillaume s’amuse régulièrement de la transformation de ce panneau, au skateboard park près de chez nous.

Avant
Après
Qui a dit qu’il n’y avait pas d’humour dans Singapour (malgré la draconienne politique anti-drogue)?

mercredi 12 janvier 2011

Décret inscriptions

Notre ministre de l’Education de la Communauté Française ne cesse de retravailler son décret « inscriptions » pour promouvoir une plus grande mixité sociale dans l’enseignement secondaire. Après le ridicule des files sur le trottoir plusieurs jours avant l’ouverture des portes, nous avons eu l’embarras d’une allocation informatisée qui laissa des enfants sans école et provoqua une série de casse-têtes logistico-géographiques pour les malchanceux!

Nous pensions que ce genre d’aléas ne survenait qu’au pays du surréalisme. Rassurons-nous : à Singapour, parangon de l’organisation minutieuse, des parents ont fait la file, de nuit, pour avoir le droit de payer une place sur liste d’attente dans une école gardienne réputée pour la rentrée de 2013 !

 


Bien sûr, cette école maternelle ne relève pas de la banalité :
  • le premier ministre en est issu, ainsi que ses enfants
  • les « cours » incluent, dès 3 ans, informatique, élocution et théâtre
  • les deux premières années sont « enseignées » exclusivement en mandarin (aspect de plus en plus important pour les singapouriens d’origine chinoise dont la génération actuelle parle assez mal le mandarin)
  • le « minerval » d’un trimestre de 10 semaines s’élève à 1700S$ (1000EUR)

Par contre, l’institution n’a, apparemment, pas encore abordé la question de la mixité sociale…

Places to go in 2011

Le NY Times a publié aujourd’hui ses “41 places to go in 2011”.


Singapour fait partie de sa sélection, tout comme Anvers (double cocorico donc). Que cela vous encourage à nous rendre visite (et, éventuellement, à visiter Anvers...)! Voici ce qu’ils disent de ces 2 villes (c'est sommaire, je le reconnais):

#23. Singapore
With new resorts and casinos, the city lets its hair down.
For years, this island country was considered oppressive and humorless. But recently Singapore has started to have some fun with new supersized resorts, design hotels and restaurants.
“There has been a big change in the Singapore scene in the last two or three years,” said the hotelier Lik Peng Loh, who recently opened Wanderlust, which he calls an “adult playground.” *
Singapore’s decision six years ago to allow gambling led to the recent opening of two complexes: the Resorts World Sentosa, with a casino, Universal Studios theme park and four hotels, including a Hard Rock; and the Marina Bay Sands

#14. Antwerp, Belgium
A new breed of boutiques have made it a fashionista’s paradise.
There hasn’t been so much fashion buzz in Antwerp since the dawn of the Antwerp Six, a group of designers including Dries Van Noten and Ann Demeulemeester who rose to prominence in the mid 1980s. And while the city’s Royal Academy of Fine Arts is still churning out avant-garde talents, it’s Antwerp’s latest crop of shops that is causing the current buzz.
“The fashionistas I know have suddenly fallen in love with Antwerp,” said Lulu Townsend, the managing director of the London travel company Chic Retreats. “It’s a shopper’s paradise.”
In the last year alone four destination-worthy concept stores have opened, among them the fashion shop-cum-gallery Ra, which sells local and international labels and also hosts art and fashion events. Next door is Your, which offers everything from “a 2-euro pack of bubble gum to 14 brands of jeans and a 350,000-euro Alfa Romeo 8C,” said Jorrit Baars, who conceived the space.
Then there are the posh new boutiques Graanmarkt 13 and Renaissance, which features designers like Alexander Wang along with a chic Italian restaurant simply called Ristaurante. While you are in the building, check out the latest exhibition at Antwerp’s fashion museum, MoMu.

* contrairement à ce que le nom et le commentaire suggèrent, c’est un hôtel classique dont seul le design ultramoderne dans une maison historique des années ’20 est distinctif (chaque étage ayant été dessiné par un bureau de design différent).

mardi 11 janvier 2011

Green City

"From November to January, the rain pours in Singapore. In the summer months, brief but intense rain showers, courtesy of monsoonal winds, bring more precipitation to this tropical city. What might be a nuisance for commuters, who forgot their umbrellas, is a boon for the city’s many green spaces."
-Singapore: The Green City-


 
 
 

"I hadn't known there were so many variations of the color green. In the trees, in the water, on a simple feather. 
And then, just when I've counted all the shades of green in the palm trees, the light changes, and so do the colors."
 -An Expat Journey in Singapore-

Singapore River
(Photo empruntée)
Nature Reserve
(Photo emprunté
e)
Botanic Gardens
(Photo empruntée)
Singapore River
(Photo empruntée)
Botanic Gardens
(Photo empruntée)
Un des multiples volets colorés de la ville
(Photo empruntée)
Sur le chemin du centre commercial le plus proche,
cette impressionnante Lamborghini... verte...
est toujours à sa place!
pour saluer les piétons ou garder la maison?
Les fameux durians odorants
(Photo empruntée)

dimanche 9 janvier 2011

Guillaume guide du Vietnam

Guillaume prend la parole et sélectionne les photos pour partager ses connaissances du Vietnam.

Quand nous sommes arrivés, nous avons commencé par un tour typique en pousse-pousse. Cela nous a montré plein de petits magasins du centre-ville.
Après, nous avons visité le Temple de la Littérature. 
Nous y avons vu plein d’œuvres d’art vietnamien.
Les vietnamiens sont très forts avec les fleurs et décorent très bien. 
Le Temple de la Littérature était la première université du Vietnam et on y trouve des pierres en forme de tortue en l’honneur des meilleurs étudiants qui sont devenus célèbres.
Les bâtons d’encens brûlent en l’honneur des dieux. A Singapour aussi, les gens brûlent parfois des voitures ou des télévisions en carton pour les envoyer aux morts.
Reproduction du temple par Aurélien.
De gauche à droite : la grue portée par la tortue,
la vitrine d’objets en or, les offrandes devant le bouddha,
le porteur de thé, et l’étang rempli de poissons chinois,
sans oublier les dragons sur le toit.
Au Vietnam, ils adorent les enfants, surtout ceux aux cheveux blonds. Hadrien s’est fait photographier plusieurs fois et il n’osait plus bouger.
Moi, j’ai même dessiné un panneau au restaurant pour me défouler parce que les gens me touchaient tout le temps la tête (Aurélien aussi) car ils penseraient que cela porte bonheur.
Nous avons aussi été voir un autre temple qui était sur l’eau, au milieu du lac.
Nous y avons vu des belles sculptures. Il y avait dans ce temple une tortue qui avait vécu dans le lac et qui pesait 250kg. La légende dit que la tortue a trouvé une épée sacrée dans le lac.
Nous avons été voir le cercueil de Ho Chi Minh qui est aussi appelé « Uncle Ho ». 
Ils le trouvent très important car, grâce à lui, ils sont devenus un pays libre. Ils ont gardé son corps et, chaque année, ils l’emmènent en Russie pour l’entretenir. Papa et moi croyons que ce n’est pas le vrai corps qu’ils exposent. Nous avons aussi vu la relève de la garde que nous trouvions un peu marrante car ils avaient une façon marrante de marcher.
Au Vietnam, ils sont très forts en œuvres d’art. Ils font de beaux masques, des belles peintures et des belles sculptures. On en a vu beaucoup dans une ancienne maison de marchand.
 
Pour terminer notre séjour au Vietnam, nous avons été à Halong Bay qui a participé à l’élection des sept merveilles naturelles du monde.
La légende dit qu’un dragon est passé dans une vallée vide et que, à chaque endroit que ses ailes touchaient, une montagne poussait. Puis l’eau est arrivée dans la vallée et il reste une multitude de montagnes au milieu de l’eau. 
Nous avons passé deux jours sur un bateau.
Nous avons commencé par visiter une grotte. Puis nous sommes allés à une plage et nous avons monté une montagne de 428 marches (856 aller-retour).
Le lendemain, nous sommes allés voir un village de pêcheurs qui vivent dans des maisons flottantes et nous avons fait un tour en sampan avec un pêcheur.
L’école du village de 300 personnes
On a vu la mère de ce pêcheur qui avait 102 ans. Au village de pêcheurs, nous avons vu des filets avec des poissons prêts à la vente. On a pu donner des grosses crevettes à manger aux grands poissons. C’était marrant de voir comment ils se jetaient dessus.
Alors qu’il ne risquait plus rien à Halong Bay,
Hadrien garde son capuchon en permanence
pour éviter qu’on lui touche encore la tête.
Le plus marrant c’était les bateaux à rames, utilisés par les vendeurs, qui étaient des petits supermarchés pour ces gens qui habitent au milieu de la mer.
 
 Bref, c’était super, maintenant, je voudrais refaire une croisière mais en été !