Tigres au Lion - now Down Under

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mardi 16 juillet 2013

Saigon, Singapore and Surf

Après une semaine partagée entre les klaxons de Saigon et la cohue des Great Singapore Sales (GSS pour les intimes venus de toute la région –votre dévoué supervise même des packages depuis la Nouvelle Zélande!–), une première découverte des calmes espaces de la côte australienne tombait à point. Ce premier mini road-trip (malheureusement en solitaire) tant attendu prendrait la direction de la Great Ocean Road, longue de 350 kilomètres, à 90 kilomètres de Melbourne.


Son point d’entrée, Torquay, cache bien, à l’arrivée, son statut de Mecque du surf derrière ses allures de petite bourgade paisible dans une campagne sans prétentions. Il faut pousser jusqu’au rivage pour comprendre en un regard la magnitude du lieu.

Repère des surfeurs hippies dans les années ’60 et ’70, le village baba-cool a grandi sur la vague commerciale du surf, s’est embourgeoisé et a donné naissance aux deux plus grandes marques du sport, Rip-Curl et Quicksilver. Les surfeurs alternatifs sont partis ou se sont assagis; leurs héritiers ont gardé les longues mèches blondes mais lâché l’iconoclasme. Certains transportent maintenant leurs planches en BMW X5, d’autres jouent entre deux vagues avec leurs enfants sur les plaines de jeux. Les pétards et les feux de camps ont (presque) disparu mais Torquay reste centré sur le surf : il y a un musée du surf, des écoles de surf, des campings de surf… Chaque voiture a ses barres de toit, toutes les vitrines sont décorées de vagues, et chaque plage compte un dizaine de surfeurs en ce calme dimanche d’hiver pluvieux.



Quelques kilomètres plus bas, la plage capricieuse de Bells Beach contribue largement au mythe:
- En accueillant depuis 40 ans le Rip Curl Pro chaque année à Pâques, l’événement phare du tour professionnel de surf (voir les meilleurs moments ici)
- En apparaissant dans la dernière scène de Point Break où Patrick Swayze surfe littéralement sa dernière vague sous les yeux de Keanu Reeves. D’autres ont malheureusement suivi ce destin de manière moins fictionnelle.



 


dimanche 7 juillet 2013

Tous les chemins mènent à… Singapour

Depuis le démarrage en célibataire à Melbourne à la fin avril, Cédric ne cesse de revenir à Singapour et d’y refaire chaque fois ses adieux avec un gros pincement au cœur
- Fin mai pour des réunions l’anniversaire de Sophie
- Début juin pour les derniers encouragements à la famille avant le déménagement (et une petite farewell party de dernière minute)
- Fin juin, en long transit vers la Belgique pour revoir quelques heures Marie, Quentin, Hector et Oscar
- Début juillet pour une journée de transit au bureau de Singapour entre les vols de retour de Belgique
- Ce lundi pour une tournée de réunions Singapour-Vietnam (ça manquait tiens de faire encore un peu d’avion… par contre, le vrai lit de l’hôtel sera bienvenu!)

L’Asie-Pacifique serait-elle un village dont Singapour est la Grand Place (à 6.000 km de Melbourne quand même)?

samedi 6 juillet 2013

Vive les mariés!

Vivent Amélie et Jan!

Et merci d’avoir involontairement conçu il y a un an, la seule excuse digne d’une visite express de quatre jours en Belgique pour le célibataire solitaire de Melbourne! Le bonheur des célébrations et la joie des retrouvailles ont largement justifié chaque minute du long périple
 

 
 
 
 
  
En marge du mariage, Cédric a testé pour vous
- Le retour au bureau après deux nuits successives dans l’avion. Conclusion: surtout ne rien décider et ne pas trop parler; le cerveau est tout juste bon à boutonner une chemise (et encore).
- Le port de la même chemise pendant 36 heures consécutives (et deux nuits dans l’avion). La chemise survit mais on ne ferait pas ça chaque semaine.
- La fidélité des amis de Singapour qui accueillent au pied levé un pauvre voyageur en transit. Merci encore Marie, Quentin, Hector, Oscar!