Tigres au Lion - now Down Under

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dimanche 15 juin 2014

Romanichels?

Après le déménagement vers Singapour en 2010dans Singapour en 2012, celui vers l’Australie en 2013, notre nomadisme a repris le dessus pour un déplacement dans Melbourne en 2014 (la faute à un propriétaire expatrié qui reprend possession de sa maison).

Le compteur s’est un peu emballé pendant ces trois dernières années et affiche maintenant huit résidences en quinze ans…
Comparée à la précédente, cette migration a l’avantage de ne parcourir que 3 kilomètres mais l’inconvénient de ne plus recourir à une armée de singapouriens pour tout emballer. Heureusement, cette fois-ci, nous évitons le traumatisme de laisser derrière nous amis, cousins et souvenirs!

lundi 9 juin 2014

Hamilton Island

Pour un anniversaire charnière qu’on ne mentionnera pas (trop), nous avons pris la direction d’Hamilton Island et laissé, à Melbourne, les enfants ravis de suivre un programme de foot, barbecues et pronostics de coupe du monde avec Hugo, Dorian et Telma.





Hamilton Island, au large de la côte est de l’Australie, représente le port d’entrée touristique de l’archipel des Whitsunday Islands et un des nombreux relais d’approche de la grande barrière de corail. Aménagée dans les années ‘80 seulement, l’île contient une réserve naturelle sur 70% de son territoire, un petit aéroport mono-piste construit sur la mer, un port de plaisance BCBG conçu pour les voiliers mais ouvert aux yachts, un réseau routier réservé aux golf carts, quelques hôtels et villas, et, bien sûr, deux tours en béton (une sur chaque rive), juste pour rappeler à tout le monde que la corruption, l’incompétence ou le laxisme sont l’apanage de toute démocratie.
 
En 2009, l’état du Queensland avait provoqué le buzz (voir ici) et attiré l’attention des médias mondiaux sur cette région en lançant un appel à candidatures internationales pour le «meilleur job du monde», basé à Hamilton Island.
Au-delà des superlatifs commerciaux, cette petite île, entre rêve et faux-semblant, nous a offert le week-end d’évasion promis. Un peu moins glamour que le reste, les deux heures de bateau en mer rugueuse, entourés de touristes chinois et russes vomissant dans tous les coins (fallait pas refuser le Touristil à $3) auront constitué la partie comico-aventureuse du périple. Après tout, voir Nemo et son anémone était à ce prix!