Tigres au Lion - now Down Under

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lundi 27 janvier 2014

Australia Day

Sans le savoir, nous sommes passés d’un pays fier à un autre. Les célébrations nationales à Singapour étaient sur-planifiées, over-anticipées (drapeaux hissés des mois à l’avance) et très démonstratives (voir ici et ici). Ici-bas, Australia Day n’est pas en reste… mais dans un style différent: moins solennel et militaire, plus convivial et aussi plus commercial. Avant le long week-end, on se souhaite «Happy Australia Day, enjoy a barbie and some beers!».
 
 
Moderne et fun, Australia Day a sa propre campagne médiatique, ses propres chips (en forme d’Australie, au goût Aussie Barbecue Meat Lovers), et même son propre burger saisonnier chez McDonalds, qui n’hésite pas à rebaptiser certains restaurants au surnom australien Macca’s pendant le mois de janvier (voir ici la pub humoristique pour le McOz).
 

Historiquement, Australia Day commémore l’arrivée du premier contingent de condamnés anglais à Sydney Cove en 1788. A l’heure actuelle, la nation célèbre plutôt en ce jour anniversaire sa culture, sa diversité et son évolution (on les comprend!).

dimanche 19 janvier 2014

Australian dreams #2

L' Australian Open, lui aussi, nous tentait de loin depuis notre arrivée en Asie.


 

Nos visites à l’édition 2014 ont confirmé la volatilité météorologique de Melbourne (nous y avons fondu par 42 degrés mardi et gelé sans pull samedi) et la passion australienne des pique-niques arrosés (certains n'étaient visiblement pas là pour le tennis).


Accompagné des enfants, nous avons appris l’exigeante passion de chasseur d’autographes: organisation, concentration et patience d’athlète. L’exercice nous a aussi révélé le statut éphémère des stars: les fanatiques se massent devant le terrain d’entraînement de Sharapova une heure avant son arrivée mais croisent Wilander, ancien #1 mondial (qui a peu vieilli), sans le reconnaître (les enfants se foutent un peu de son autographe d’ailleurs).

Enfin, dans la série «les champions sont des gens comme nous», l’entraînement des «Légendes» Pioline, Forget et Santoro n’attirait pas les foules et ressemblait à un interclubs de vétérans post-apéro: des cheveux en moins, du gras en trop et des smashs boisés à gogo, il fallait qu’un spectateur français convainque les badauds «si si, je vous jure, ce sont d’anciens champions français des années ‘90».

Bref, à l’Open, tout le monde trouve son compte... Les photos de Sophie (notez le drapeau belge au-dessus de Gasquet): 
Et celles de Cédric:


Australian dreams #1

Nous reluquions déjà la côte ouest de l’Australie depuis Singapour. Arrivés sur le sol australien, nous n’attendions plus que les vacances scolaires d’été pour y filer, la venue de Daddy et Mamy nous permettant en plus de partager avec eux la dolce vita presque toscane de la Margaret River.
 

Ce passage à l’ouest nous rappelait deux vérités simples:
1) L’immensité du territoire australien : quatre heures de vol pour atteindre Perth qui serait la métropole la plus isolée du monde, puis encore trois heures de route pour descendre sur Margaret River.







 
2) L’injustice du monde : Perth avait déjà, à ses pieds, des milliers de kilomètres de plages d’océan indien, un climat tempéré pour en profiter toute l’année, et la plus belle région viticole du pays (Margaret River); le boom minier des dernières années lui a offert, en plus, une prospérité bien chanceuse.
 
  
 
 
 
la réflexion, les dangers des plages seraient les seules faiblesses de cette région gâtée des dieux.
 

jeudi 2 janvier 2014

Bilan 2013 - Guillaume

Les tops de 2013 selon Guillaume

1.   Quitter la Hollandse School et Singapour (on savait que Guillaume n’était un fan ni de l’une ni de l’autre mais il semble garder la dent dure même six mois après!).
2.   La victoire des Diables Rouges contre la Hollande (qui était en fait en 2012 mais bon...), même si c’était en amical et même si les hollandais de l’école ont inventé un million d’excuses bidon.
3.   Le sejour aux Grampians (voir ici).
4.   La découverte du football américain, modérément suivi en Australie.
Les flops de 2013 selon Guillaume
1.   Le Musical des 6ème primaires de la Hollandse School, trop dirigé par les profs et trop peu abouti (selon lui).
2.   La course de Billy Carts (caisses à savons) des 6ème primaires de l’école australienne, annulée en cours de route à cause de la pluie (après des semaines de préparation).


 

Bilan 2013 - Aurélien

Les tops de 2013 selon Aurélien

1.   L’Ambassador’s cup (c’était fin 2012 mais on ne dira rien…): un tournoi de foot inter-écoles avec du public, des uniformes, des sponsors, des cadeaux et des échoppes de bouffe… «On se croyait déjà chez les pros» (voir ici)! 
2.   Le dernier jour à la Hollandse School, avec les célébrations, les  adieux et les attentions des amis.
3.   Fêter ses 10 ans au Belgian Beer Cafe lors de la semaine de visite à Melbourne avant le déménagement.
Les flops de 2013 selon Aurélien
1.   Les premiers mois d’école à Melbourne (gloups).
2.   Quitter la Hollandse School (voir ici).
3.   Prendre souvent l’avion (Singapour-Melbourne-Singapour en mai, Singapour-Amsterdam en juin, et Amsterdam-Singapour-Melbourne en juillet).

mercredi 1 janvier 2014

Bilan 2013 - Hadrien

Excellente année 2014 à tous!
 
De notre côté, un réveillon 2014 intime, juste à nous 5, nous a permis de revenir en pensée sur cette année 2013 mouvementée et d’en nommer les tops et les flops:

Les tops de 2013 selon Hadrien
1.   Habiter au Swiss Club (en face de l’école) lors des derniers jours à Singapour. Non, non, pas pour le cadre enchanteur ni pour les deux piscines olympiques sous les palmiers. La pollution atmosphérique du haze assignait les enfants à la télé de la chambre d’hôtel, un vrai paradis apparemment!
2.   Le football parascolaire de l’école hollandaise à Singapour.
3.   Le Footy Day de l’école australienne (voir ici).

Les flops de 2013 selon Hadrien
1.   Le déménagement (toujours pas fan des changements, le benjamin…).

Happy New Year!

 

"If you want something you've never had, you must be willing to do something you've never done"
Thomas Jefferson