En cette fin de Ramadan, le long week-end d’Hari Raya nous a enfin vu
mettre les pieds en famille en Malaisie. Parasitant l’initiative groupée d’amis
belges, nous avons migré vers les plages de l’île de Rawa. Les préparatifs
furent un peu rugueux: un accident scolaire et une anesthésie générale 36
heures avant le départ, un lever nocturne pour éviter la surchauffe du passage-frontière,
deux heures de route plutôt effrayantes avec un chauffard chauffeur
malais trop pressé de rentrer dormir, et deux heures d’attente dans un port
sordide au moment où la patience devenait ténue.
A vrai dire, les rebondissements du trajet inséraient peu à peu le doute dans notre esprit et ravivaient les échos négatifs perçus çà et là sur des blogs d’expats. Dans leurs critiques, les expats vacanciers vitriolaient presque toute l’île (logements insalubres, personnel désagréable, nourriture avariée)… sauf les plages (ce qui, in fine, donne une idée de leur qualité). Nos espoirs et notre patience s’accrochaient donc à cette précieuse nuance!
A vrai dire, les rebondissements du trajet inséraient peu à peu le doute dans notre esprit et ravivaient les échos négatifs perçus çà et là sur des blogs d’expats. Dans leurs critiques, les expats vacanciers vitriolaient presque toute l’île (logements insalubres, personnel désagréable, nourriture avariée)… sauf les plages (ce qui, in fine, donne une idée de leur qualité). Nos espoirs et notre patience s’accrochaient donc à cette précieuse nuance!
Finalement, notre court séjour aux plaisirs multiples a confirmé que, franchement, les européens de Singapour (nous ne citons pas de nationalité -suivez notre regard ‘outre-quiévrain’-) devraient parfois tourner leur langue sept fois ou, au moins, s’entendre râler…
Wow le paradis!
RépondreSupprimerWooooooooooooooooooooooowwwwwwwww
RépondreSupprimermagnafique!!! Ik zou daar ook nooit meer weg willen :)!
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