A 13 ans, Guillaume se passionne pour le baseball et
pour le basket, sur la PlayStation, sur YouTube et aussi dans de vraies équipes
de la vraie vie! Par ailleurs, il reste
un peu fidèle au football, essayera d’être le futur Thibaut Courtois de l’équipe
de Brighton (il en a déjà la pointure… un impressionnant 45 bien sonné) et
changera de nouveau d’école (sa sixième en dix ans) à la rentrée de janvier, ce
qui ne l’impressionne vraiment plus du tout.
Bon anniversaire Guillaume !Tigres au Lion - now Down Under
lundi 24 novembre 2014
Teenager!
Début novembre, Guillaume a passé le cap du thirteen. Nous avons donc officiellement
un vrai teenager à la maison. Il
grogne de temps en temps, grandit beaucoup, mange encore plus, dort étonnement
peu mais reste néanmoins plutôt sociable.
dimanche 23 novembre 2014
Good Food Month
Novembre a continué sur un mode gastronomique avec les
festivals Good Food Month qui animent les métropoles australiennes pendant tout le mois. Ce samedi,
nous nous sommes laissé doublement tenter par une visite à Paris-Provence l’après-midi
pour des dégustations de crêpes, pâtisseries, vins, champagnes, et fromages (en
l’honneur de l’entrée de Président
sur le marché australien!), suivie d'un dîner au Night Noodle Market pour explorer les meilleures saveurs asiatiques
de la ville (avec quelques milliers de nos plus proches
amis).
samedi 22 novembre 2014
Melbourne Cup
En novembre, l’été approche et Melbourne lance son
programme intense d’événements variés. La première semaine accueille toujours
la Melbourne Cup, «the race that stops a nation». Pendant une semaine, les hommes ne parlent que de chevaux, les
femmes ne parlent que de chapeaux, et tout le monde en profite pour boire et
parier encore plus que d’habitude. Cette année, les organisations animalières
ont ajouté à la cacophonie après la mort de deux chevaux (dont la vedette japonaise)
à l’arrivée de la course principale.
Pour le long week-end, nous avons fui les parades et les courses, laissé les enfants en de bonnes mains (merci encore Corinne, Pierre, Hugo, Dorian, et Telma!) et pris la route du bush victorien pour un road-trip gastronomico-rando à Daylesford, capitale bobo de la gastronomie bio locale.
Enfin, même en Australie, la gastronomie s’accompagne d’une French touch: une équipe de jeunes français assurait le service du restaurant en vue. Déjà contaminés par les australianismes, ils avaient perdu le formalisme de l’hôtellerie française et gagné l’enthousiaste désinvolture australienne pour nous conter leur vision dithyrambique de notre down under. Leur présence nombreuse au fond de la campagne victorienne confirme aussi l’ampleur de l’exode des jeunes français, une impression déjà marquante à Singapour…
Si Sophie s’est presque laissé tenter par une après-midi
«CCC» (champs de course, chapeau, champagne), il faudra bien plus que des bulles
pour convaincre Cédric d’aller regarder des performances hippiques
(heureusement un Ladies’ day existe…).
Pour le long week-end, nous avons fui les parades et les courses, laissé les enfants en de bonnes mains (merci encore Corinne, Pierre, Hugo, Dorian, et Telma!) et pris la route du bush victorien pour un road-trip gastronomico-rando à Daylesford, capitale bobo de la gastronomie bio locale.
De vignoble en cidrerie, à travers monts et forêts,
notre deux-chevaux des temps modernes participait à
l’ambiance européenne du voyage mais paraissait bien chétive dans le parc automobile
démesuré typique du bush. Dans cette campagne pourtant proprette et civilisée, même les
usagers les plus écolos s’équipent pour le pire!
Enfin, même en Australie, la gastronomie s’accompagne d’une French touch: une équipe de jeunes français assurait le service du restaurant en vue. Déjà contaminés par les australianismes, ils avaient perdu le formalisme de l’hôtellerie française et gagné l’enthousiaste désinvolture australienne pour nous conter leur vision dithyrambique de notre down under. Leur présence nombreuse au fond de la campagne victorienne confirme aussi l’ampleur de l’exode des jeunes français, une impression déjà marquante à Singapour…
dimanche 9 novembre 2014
Staff Travel
Pour pimenter le retour en Belgique, ce
semi-tour-du-monde s’est fait «sans billets», en «staff travel» (càd
sur les sièges invendus de Qantas ou de ses partenaires). L’aller nous démontra
tous les bienfaits de cette formule économique: un trajet sans détours dans le
confort d’Emirates pour Sophie et les garçons, un double upgrade jusque Londres
pour Cédric.
Le retour, par contre, déjoua notre ambition astucieuse d’éviter le pic du tourisme australien à Dubaï et Singapour en transitant par le Japon, où tout se présentait plutôt bien avant qu’un typhon ne frappe au moment précis où le tapis de la Lufthansa avalait nos bagages étiquetés Tokyo. Après quelques sprints désordonnés et des changements de dernière minute sur le wifi de l’aéroport de Frankfort, la perspective plutôt glauque de voler sur Kuala Lumpur avec Malaysia Airlines s’avéra inéluctable. Au final, le trajet folklorique Bruxelles – Frankfort – Kuala Lumpur – Singapour – Perth – Melbourne en 3 jours, fut accepté de bonne guerre par les enfants pour autant que les iPod/Pad/Book trouvent régulièrement une prise de courant où s’abreuver. Au bout de 5 vols sur 4 compagnies aériennes, on retiendra surtout:
Le retour, par contre, déjoua notre ambition astucieuse d’éviter le pic du tourisme australien à Dubaï et Singapour en transitant par le Japon, où tout se présentait plutôt bien avant qu’un typhon ne frappe au moment précis où le tapis de la Lufthansa avalait nos bagages étiquetés Tokyo. Après quelques sprints désordonnés et des changements de dernière minute sur le wifi de l’aéroport de Frankfort, la perspective plutôt glauque de voler sur Kuala Lumpur avec Malaysia Airlines s’avéra inéluctable. Au final, le trajet folklorique Bruxelles – Frankfort – Kuala Lumpur – Singapour – Perth – Melbourne en 3 jours, fut accepté de bonne guerre par les enfants pour autant que les iPod/Pad/Book trouvent régulièrement une prise de courant où s’abreuver. Au bout de 5 vols sur 4 compagnies aériennes, on retiendra surtout:
-La fidélité des amis de Singapour (déjà testée
quelques fois par les rendez-vous foireux de Cédric). Un sms, une clé sous le paillasson
et 5 voyageurs hagards retrouvent miraculeusement gîte et réconfort! Merci
encore à Gwen, Tom, Niels, Alix, Inès et Zélie pour leur accueil aussi
chaleureux qu’improvisé!
-L’envers du décor du «meilleur aéroport du monde». A
Changi, derrière le glamour des boutiques et le confort de la grosse moquette
se cache le bureau des bagages perdus dont le décor stalinien, aggravé par un
personnel aussi désagréable qu’incompétent, n’a plus été rafraîchi depuis
l’indépendance de Singapour.
-Le règne de la promo: un bon discount semble compenser
l’image de marque la plus déprimée. Notre vol Frankfort – Kuala Lumpur sur
Malaysia Airlines était étonnement plein.
-La trépidante vie nocturne du petit aéroport de Perth.
Au milieu de la nuit, les vols AirAsia et Jetstar déversent des hordes de
surfeurs en clapettes qui reviennent de Bali, avec une planche sous le bras
comme seul bagage. A quatre heures du matin, le flux s’inverse et des centaines
de mineurs FIFO (Fly In Fly Out) envahissent le terminal en direction des coins
reculés mais géologiquement prospères de Western Australia.
lundi 3 novembre 2014
Back to Belgium IV
14 mois
après la dernière visite en Belgique, nous avons enfin repris le chemin de la
terre natale, une première depuis l’Australie.
Placé sous le signe des bébés, ce retour en Belgique (toujours trop court même si Cédric a doublé son séjour par rapport à l’an dernier -4 jours à l’époque-) a de nouveau tenu toutes ses promesses.
Merci à ceux qui ont fait de la place, en dernière minute, dans leurs calendriers (et dans leurs maisons). Les retrouvailles et les plaisirs belges confirment chaque année leur délicieuse saveur; les (nombreux) rendez-vous manqués renouvellent chaque année notre ambition de revenir plussouvent
longtemps!
Placé sous le signe des bébés, ce retour en Belgique (toujours trop court même si Cédric a doublé son séjour par rapport à l’an dernier -4 jours à l’époque-) a de nouveau tenu toutes ses promesses.
Merci à ceux qui ont fait de la place, en dernière minute, dans leurs calendriers (et dans leurs maisons). Les retrouvailles et les plaisirs belges confirment chaque année leur délicieuse saveur; les (nombreux) rendez-vous manqués renouvellent chaque année notre ambition de revenir plus
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