Après presque trois ans de patience et une bonne
trentaine de voyages professionnels vers Tokyo, l’opportunité rare combinant
tous les critères s’est présentée ce week-end: un voyage professionnel qui
termine le vendredi, un jour férié lundi, un agenda de week-end pas trop rempli
et, surtout, des sièges invendus dans les deux sens pour surfer sur le staff travel.
En deux jours d’exploration, Tokyo a conquis tout le
monde et prouvé qu’on y trouve tout: du plus local au plus international, du
plus sacré au plus décalé, du plus austère au plus kitsch (kawaii!), depuis les restaurants étoilés (deux fois plus
qu'à Paris) jusqu’aux cochons punks domestiqués.
En bref, Tokyo est la ville de tous les possibles.
A Tokyo, on peut voyager deux jours en métro sans voir
un papier par terre, une rame en retard ou un escalator en panne.
On peut consommer plus belge qu’en Belgique.
On peut traverser les plus grands carrefours du monde
en diagonale, sur les passages prévus à cet effet.
On peut attendre son tour devant le restaurant de sushis pendant une heure sagement sur une chaise (pas nous, qui mangeons coréen -sans file-).
On peut chercher pendant une demi-heure la porte d’entrée du restaurant tout proche recommandé par l’hôtel.
On peut trouver un spaghetti bolognaise et des hot
dogs sur les menus de petit déjeuner.
On peut visiter des temples sans que les enfants ne râlent.
On peut visiter des temples sans que les enfants ne râlent.
Waouw! Quel enthousiasme!! Ça donne envie!!
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