Nos visites à l’édition 2014 ont confirmé la
volatilité météorologique de Melbourne (nous y avons fondu par 42 degrés
mardi et gelé sans pull samedi) et la passion australienne des pique-niques
arrosés (certains n'étaient visiblement pas là pour le tennis).
Accompagné des enfants, nous avons appris l’exigeante passion de chasseur d’autographes: organisation, concentration et patience d’athlète. L’exercice nous a aussi révélé le statut éphémère des stars: les fanatiques se massent devant le terrain d’entraînement de Sharapova une heure avant son arrivée mais croisent Wilander, ancien #1 mondial (qui a peu vieilli), sans le reconnaître (les enfants se foutent un peu de son autographe d’ailleurs).
Enfin, dans la série «les champions sont des gens
comme nous», l’entraînement des «Légendes» Pioline, Forget et Santoro n’attirait
pas les foules et ressemblait à un interclubs de vétérans post-apéro: des
cheveux en moins, du gras en trop et des smashs boisés à gogo, il fallait qu’un
spectateur français convainque les badauds «si si, je vous jure, ce sont d’anciens
champions français des années ‘90».
Bref, à l’Open, tout le monde trouve son compte... Les photos de Sophie (notez le drapeau belge au-dessus de Gasquet):
Et celles de Cédric:
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