Open à gogo

Encore plus que les autres années, nous avons profité au maximum de l’Australian Open, l’événement qui, à lui seul, justifierait d’habiter à Melbourne (selon l’avis très personnel de Cédric du moins…).

Cette année, l’Open fut parcouru en solo, en famille (ici), en famille réduite (hardcore fans ci-dessous), en mode autographes, en mode after-work, en mode corporate (merci Vincent!) et même en mode selfie!

Back to school 2016!

Après de belles et longues vacances, après les dernières célébrations d’usage, l’école a repris ses droits!

Avec deux enfants dans l’enseignement secondaire, le débat quotidien matinal « blazer-cravate » a redoublé:

- Guillaume: « Aurélien, le blazer n’est pas obligatoire, je le mets jamais, c’est la honte »

- Aurélien: « pourquoi on l’a acheté alors? » (ndlr: on ne sait pas trop)

- Sophie: « Aurélien, n’écoute pas ton frère, le blazer est obligatoire sur le trajet de l’école, même si le trajet fait 50 mètres. Guillaume, serre ta cravate et rentre ta chemise. Tu ne vas pas prendre une retenue le premier jour quand même! »

Blazer ou pas, débraillé ou non, la rentrée fut bonne pour tous!

(ndlr 2: pas de panique, Hadrien a bien un pull à sa taille. Il refuse juste de le porter!)

Austraya Day

Le 26 janvier, l’Australie célèbre Australia Day.

Trouverez-vous les 26 allusions, clichés, et stéréotypes australiens sur cette photo (certains sont subtils)?

Australian Open 2016 – Intro

36 heures après notre atterrissage, le cœur encore en Belgique, nous avons offert notre traditionnel support aux joueurs belges naviguant les qualifications de l’Australian Open.

Le vol de retour nous avait déjà mis dans l’ambiance, grâce à la présence (bien plus à l’avant de l’avion…) de Kim Clijsters.

Notre support, ainsi que celui de Kim, aux qualifiables belges n’a pas suffi mais fut largement récompensé par une seconde photo people belge!

Noël belge

Après 5 années de retours estivaux, nous avons regoûté aux plaisirs d’un Noël froid.

On a retrouvé une ville natale qui sentait la poudre sans renoncer à sa bonhommie.

On s’est ressourcé au calme et au charme des Ardennes belges.

 

On a aimé la Suisse, toujours aussi prévisible: enchanteresse en montagne et stricte sur la route (suivant une tradition bien ancrée, Cédric y a testé, de nouveau, les radars fixes…).

 

 

Partout, on a comblé de nombreux manques en tous genres (on a aussi manqué quelques rendez-vous, remis à la prochaine fois).

 

On est revenu chargés de souvenirs magnifiques, d’émotions fortes, mais aussi de produits locaux et de lectures, irremplaçables.

Merci à tous pour l’accueil, les bons moments et la tolérance de notre agenda parfois surréaliste!