Christmas at the beach

Bien installés au bout de la péninsule (découverte en automne), à 90 kilomètres de chez nous, entre les vagues d’océan et la tranquillité de la baie, nous avons pris le (bon) temps de savourer des retrouvailles fort attendues.

On aurait pu manger des pizzas et boire du blanc ensemble sur la plage pendant 7 jours (et plus)…

… mais on a aussi redécouvert Melbourne (ses gondoles (!), ses ponts et ses acrobates de rue),

joué à tous les foots (australien, américain et soccer)* et autres sports de plage,

pris des cours de surf**,

visité et testé la viticulture locale,

admiré la poésie du lieu (un doux rappel des délices oculaires de l’océan, bien plus lointain, de Margaret River),

et évoqué, non sans émotion, notre chère Belgique.

Merci à Gus, Maureen, Solenn, Gladys, Erin et Derek pour ces tout bons moments à refaire!

* trois semaines en avance, le déclin de la quarantaine s’est honteusement annoncé à Cédric par un claquage au premier foot de plage!

** pas peu fier du fiston qui refuse de porter le casque (moyennement seyant) quand ce n’est pas nécessaire!

Merry Christmas!

... with friends!

Les courageux voyageurs, venus à six du bout du monde, sont bien arrivés.

Noël s’envisage paisiblement lors d’un passage obligé à Brighton Beach…

... avant de prendre nos quartiers au bout de la baie. Ça se présente bien!

Holidays...

On a lancé les vacances en douceur par un week-end au parfum sportif: le derby de Melbourne samedi avec, coïncidence agréable, un soutien particulier du club Melbourne City à Save the Children; un avant-goût d’Australian Open dimanche avec la finale du Wildcard Playoff offrant une place dans le tableau 2015 à un jeune joueur australien.

Christmas is coming...

Le Santa surfeur (en clapettes) a fait son apparition au bureau

Les pique-niques de collègues ont lieu dans les parcs de la ville

Les motivés illuminent leur maison (c’est pas la nôtre)

Les 52 festivités de fin d’année scolaire sont conclues (le show Spice Girls des institutrices valait le détour)

Entre les remises de certificats, les festivités des équipes de sport (environ 47 échanges de cadeaux à préparer) et le méga pic saisonnier de voyage, deux parents un peu submergés prennent 5 minutes pour profiter de l’été…

Happy Birthday Hadrien!

A 8 ans bien sonnés, Hadrien n’a plus besoin d’accélérer ses phrases pour placer un avis dans les conversations familiales. Il a imposé son style, sa place et son indépendance. Il a accepté son statut de cadet mais se verrait bien avec un petit frère ou une petite sœur. Il s’occuperait d’ailleurs volontiers de ses petits cousins de Belgique à plein temps.
 

L’iPad et la PlayStation l’éloignent progressivement des Legos et Playmobils* mais ses besoins de rêverie et de solitude le ramènent régulièrement dans un monde imaginaire. Parmi ses nombreux amis, les filles sont encore invitées à son anniversaire (même si c’est pour jouer au foot).

Fier de ses racines, Hadrien choisit la Belgique comme thème d’élocution scolaire et doit même partager le sujet avec ses amis tant il en a fait une promotion alléchante!

 

Hadrien n’est pas encore complètement australien, il conserve une anxiété et un formalisme tout européens:

- à un âge supposément insouciant, il se fait, sans raison, du souci pour ses bulletins malgré la pédagogie anti-stress de l’Australie et des parents plutôt relâchés avec le cadet.
- quand ses copains de classe élisent leur meilleur T-shirt de foot ou de footy pour le concert de Noël, Hadrien insiste pour porter un veston et une cravate.

Accessoirement, il adore le vélo, un test ADN s’impose…

Bon anniversaire Hadrien!

* Les Playmobils, inconnus en Australie, fascinent nos jeunes invités à tous les coups.